ECONOMIE (4 et fin)

Publié le 17 Novembre 2013

Cette "économie mondiale" doit être poursuivie ; en fait elle est irréversible. Et par chance, elle peut présenter de très nombreux avantages.

Elle devra nécessairement être pensée à l'échelle mondiale, et non plus nationale. Les temps ont changé, nous sommes bel et bien dans la seconde décennie du vingt-et-unième siècle, début du troisième millénaire. Il s'ensuit que tous les pays participeront à la mondialisation, phénomène naturel inéluctable. L'économie doit être un facteur d'humanisme.

En contrepartie, obligation de respecter l'environnement, ce qui est loin d'être le cas actuellement. On n'en est qu'aux balbutiements. L'idéal serait même que l'écologie soit un secteur, et un vecteur de l'économie.

Tout ceci nécessite naturellement un changement dans les mentalités, notamment l'ouverture, et à plusieurs niveaux : gouvernants, et gouvernés. L'impulsion doit venir de nous tous, au niveau local tout simplement, comme un modèle de pensée, et d'action. Unissons notre force, nos idéaux ; passons à une action positive et florissante.

Le vingt-et-unième siècle sera spiritualiste, ou ne sera pas.

André MALRAUX

Rédigé par Annie Clerc

Publié dans #science économique

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article